Une nouvelle semaine s’achève. Le trax est toujours seul, pétrifié. Le coquelicot ne le voit plus, trop occupé à faire connaissance avec ses nouvelles voisines. Un passant admire cette densification éphémère et son chien renonce à lever la patte. Il est de moins en moins cynique.
La Rue de Verdeaux ne fait pas exception, elle a son alter ego souterrain. Alors que je l’arpentais cet après-midi, à la recherche de je ne sais quoi, j’ai soudain tendu l’oreille. Telle un souffleur de théâtre, la bouche me parlait.