J’ai déjà dit sur ce blog que la réflexion de la rue –d’à la rue– méritait d’être diffusée. Ici, ici et ici.
Et je ne suis sans doute pas le seul à le penser puisque, étonnamment, les dernières affiches résistent plutôt bien au temps qui passe. Les autorités d’ici et d’ailleurs auraient-elles décidé de donner droit de cité à la réflexion de la rue? La maréchaussée de l’Ouest et les voyers communaux seraient-ils débordés? Ou alors paresseux en ces jours d’automne? Les auteurs d’à la schtras’ auraient-ils trouvé des lieux ignorés des dépositaires de l’ordre urbain? Je ne sais. Toujours est-il que j’ai pu tranquillement photographier ces affiches que je vous livre en morceaux, mais sans omission.
Si vous craignez que ce qui suit ne vous insupporte, deux conseils:
1° N’arrachez pas la page de votre écran.
2° Adressez-vous à BN pour trouver une résidence à l’abri des voyous, il en construit plein.